lundi 4 février 2008
Trop de princesses et pas assez de princes charmants
Pardon jolie princesse d'avoir voulu figer ta tristesse
Mais tu étais belle assise sur cette histoire trop vieille
Ton enfermement au monde résonnait dans le mien
J'aurai voulu m'approcher pour te faire lever la tête
Voir des larmes s'il y en avait, et tenter de les sécher
Mais j'étouffais déjà trop les miennes
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