mardi 13 mai 2008

La manière douce, la manière forte




...a fait palpiter l'aorte ...a usé de quelques soudures
...a défoncé la porte ...a fait sauté la serrure
L'un était un rêve qui de l'autre a le cauchemar
Dans les bras morts de la nuit qui tombe
Sous la lune flambante buvant des lampées de lave
Le goût terrible du souffre, du fer, de l'écume et du sang mêlé

Je vomis encore ma rage pour trop de silence
J'ai payé pour des crimes que je n'avais pas commis
Si jamais... j'en tuerais c'est sûr, j'en tuerais pour moins que ça

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